Gens,

Tu auras remarqué que je suis tellement zoccupée à (1) voyager de par l'Europe (2) raconter des bêtises (généralement en anglais) sur Touiteur (3) me faire de longues balades (4) glandouiller sur le Ternet mondial (5) éventuellement, mériter mon bretzel quotidien[1], que ça commence à prendre sérieusement la poussière, par ici.

(Alors que quand j'étais en thèse et que je passais ma vie à (1) bosser (2) danser (3) bosser, je bloguais. Go figure.)

Nonobstant, il m'arrive des zaventures formidables (formi formi formi sol si... do[2]), du genre de celles qui sont tellement extraordinaires que tu ne peux t'empêcher de regarder ton reflet dans une flaque d'eau sale[3] et de te dire « ça, c'est blogable ». Pour ensuite ne pas les bloguer.

Par chance, j'ai vécu l'une des plus récentes (et plus merveilleuses) de ces aventures en la chatoyante compagnie de Pétronille Du Beulogue (Impératrice de son état). Qui elle, continue de bloguer contre vents et marées, et la relate donc ici dans ce qui promet d'être un volet à épisodes.

Ces longs prolégomènes pour te dire, allez, va lire le tizeur. Oui, y a qu'un tizeur pour l'instant. Mais bientôt, y aura une chèvre (je te fais le tizeur du tizeur). D'où mon titre.

Bien la bise à ton oryctérope.

Notes

[1] Non, je ne mange pas du bretzel chaque jour, c'est une figure de style

[2] Fiat lux

[3] Ceci est une référence obscure et à Eat, Pray, Love, que je n'ai pas lu, et à cette revue du New York Time, que j'ai lue. De toute façon, je fais des références obscures qui ne font rire que moi si je veux.