Ceux que l'on porte dans nos cœurs.
Ceux que l'on porte dans nos mémoires.
Ceux que l'on porte dans nos veines, dans notre sang, dans nos gènes.
Ceux que l'on emporte avec nous, parfois bien malgré nous.

Sujet de la conversation du jour dans mon bureau, doigts serrés sur des tasses de thé fumant, entre expatriés au long cours tout en inébranlable loyauté, amour inconditionnel et blessures mal cicatrisées.

366 réels à prise rapide. Aujourd'hui en moins de cent mots, parce qu'un regard, un sourire, une inspiration brusque, valent largement les vingt-sept (âge en années, tiens donc, de chacun des interlocuteurs concernés) qui manquent à l'appel.