En même pas deux mois, trois courses contre la montre pour envoyer une version pas trop moche[1] d'un article à une conférence avant l'heure fatidique de la clôture des envois.

Je pensais qu'à force je me bronzerais, mais rien à faire : je supporte très mal d'enchaîner ne seraient-ce que deux journées de plus de douze heures pour ensuite me lever à six heures tapante pour les derniers ajustements. Et je ne suis pas entièrement sûre de vouloir m'y habituer.

Obsolètes à prise rapide, sur une idée de Franck, collectés ici par le même. Le 23 février : se bronzer.

Notes

[1] Avec des résultats expérimentaux qui tiennent un peu la route, écrit de manière logique, fluide, syntaxiquement correcte et dont le style ne me fasse pas grimper aux rideaux.