Write your name on the shell of a dodo egg
Une proposition (à laquelle je ne donnerai probablement pas suite, étant fort aise là où je suis) de me porter candidate pour un poste prestigieux, « puisque ton cours s'est remarquablement bien passé et que ta recherche complémente la nôtre ».
Une répétition avec un formidable chef de chœur remplaçant ; du travail de détail, du mouvement, de la respiration... et le bonheur d'écouter solennellement nos harmoniques résonner dans la chapelle.
Un goûter d'anniversaire, dont la supériorité sur la soirée d'anniversaire a été largement démontrée, puisqu'il permet d'une part de recevoir chez soi d'adorables petites filles et de l'autre de se poser à 23 heures avec une tisane dans un appartement propre et rangé.
De très bonnes crêpes et galettes.[1]
Les places réservées à la Philharmonie (Chotaskovitch et Le Sacre et plein d'autres bonnes choses).
Une jolie idée de recherche, et un demi-millier de lignes de code bien documenté pour commencer à l'explorer.
Le pouic-pouic-pouic[2], à l'autre bout du fil, d'un tout petit chien-clown qui signale en machônant son pouic-pouic[3] que ça fait bien trop longtemps que ma maman cause dans le poste et qu'il est l'heure de jouer avec le tout petit chien-clown.
Et puis, quelques petits bonheurs qui ne concernent pas que ma pomme, et que je recherche tout autant que Kozlika : Les choses qui commencent à bouger en ce qui concerne les femmes dans le milieu universitaire (évidemment, pour faire ce constat on est obligé d'en passer par une longue et bien moins heureuse liste de tout ce qui ne va pas). L'hypothèse d'une neuvième planète (non, pas Pluton) dans le système solaire, et puis le fait que celle-ci soit déjà dans Wikipedia. Riad Sattouf, ce matin sur France Culture, qui m'a bien fait plaisir en s'opposant à Caroline Éliacheff, psy pour enfants honnies, qui trouvait ça très constructif que les enfants aient des relations filles/garçons stéréotypées.