Sursis qui, hélas, ne m'empêcha pas d'oublier de recharger les piles de mon appareil photo, lequel s'éteint tristement dans mes bras entre le Colisée et le Grand Cirque. Je le ranimai avec une joie émue le lendemain matin, et le rassurai à voix basse : une fois les ruines romaines passées, la beauté de la capitale du péché autorisé (comme l'appelle un ami italien) se trouverait, je l'espère, en intérieur. Mon dédain hautain pour les meringues bétonnées produites à partir du XVIè siècle n'est plus à démontrer.

colosseo

366 réels à prise rapide — Rome, le 29 février 2012