Dans les rues de Paris (fleurit une chanson)
Lundi, je fus prise d'un grand coup de blues. Alors je suis allée faire un tour du côté de mes balades adolescentes.
Ce qui ne fut pas bien difficile car je les ai empruntées récemment, aussi bien seule qu'en excellente compagnie, ces rues de Paris dans lesquelles je trainais plus jeune au lieu de plancher ma physique. (Je détestais la physique. Sauf l'optique, la thermodynamique et peut-être l'électromagnétisme par jour de grand vent.) A l'époque, les pellicules coûtaient cher, le développement aussi, et je prenais rarement mon appareil photo. Mais cet hiver, surtout quand c'était seule que j'arpentais la ville et ne me risquais à aucune impolitesse, j'ai gardé une main crispée sur mon appareil numérique.
Images.
Ce qui était ma deuxième participation aux sabliers givrés organisés par Kozlika, sur une amorce choisie par Malgven.
Remerciements à Zub (dont la page refuse actuellement de se charger chez moi) pour avoir été l'auteur originel de cette amorce.