Comme je passerai manifestement le réveillon dans un hôtel quelconque à mi-chemin entre le Baden-Württemberg (Bade-Wurtemberg en français dans le texte et pour des raisons qui m'échappent, mais alors, complètement) et le Dauphiné, genre vers Besançon (Doubs) (je t'aime je t'aime je t'aime... alors trois fois je t'aime ?), j'en profite pour vous souhaiter une fort belle année 2011 avec des vrais morceaux de bonheur pas écrémé dedans.

Et pour contraster avec la photo que j'avais prise cinq semaines plus tôt, un petit aperçu de la Germanie sous la neige :

Neckar sous la neige

Ah et sinon, Noël ? Un combat sans merci entre, d'une part, un rhume carabiné et les conditions climatiques[1], et d'autre part, deux petits cousins absolument charmants (comment ça je peux pas les mettre dans ma valise ?), une famille ravie d'être réunie autour d'eux, deux sympathiques clébards (bon, si je laisse les gamins, je peux peut-être prendre un chien ? Allez, le plus petit ? Non ? Pfff), et une arrière-grand-mère aux anges.

Notes

[1] afin de maximiser mes chances d'avoir des emmerdes, j'ai pris le train le 24, le 25, et le 26 décembre... et le 25 j'ai corsé les choses en m'adjoignant ma grand-mère de bientôt quatre-vingt-dix ans ; cinq heures au lieu d'une et demie pour le retour du 25, dont une heure avant d'avoir un taxi, le prochain qui me vante les mérites d'un Noël blanc se prend ma main dans la figure.