8h45 : « Ouiii, Chloé, on sait qu'il fait beau ! » m'interrompt M avant de me demander si je n'aurais pas plutôt lu des détails sur le passage de la réforme de la santé. Je lui réponds que les Républicains et leurs partisans dans toute l'Amérique, surtout profonde, en plus d'être la même bande de dangereux cinglés qu'à l'habitude, sont furieux qu'on ose leur imposer des lois tellement communistes qu'elles permettent à plus de gens d'accéder à l'offre du secteur privé et en mangent leurs chapeaux, ce qui ne laisse rien présager de bon. Qui a besoin d'un café le matin quand je suis là pour remonter les gens ?
9h00 : Flûte, on a choisi une séries d'exposés de pauvres, y a pas de café. La science, sans café, c'est plus difficile que la finesse politique.




