Une fois que les nuages de l'aube sont éparpillés, le soleil brille, le ciel est bleu Provence, l'indice UV est scotché à « 10+, extrême », il fait chaud, les petits oiseaux chantent (et les corneilles aussi, saletés, même quand il y a des nuages, on n'a pas idée de croasser devant ma fenêtre à cinq heures du matin), et c'est parti pour durer comme ça pendant environ deux mois et demi sans une goutte de pluie. Bref, c'est l'été en Californie du Sud.
Ah, l'été. Des journées lascives, des grasses matinées, des après-midi à la plage, des Perrier-rondelle en terrasse... hmm, non, pas trop en fait. (Trouve moi un café pour commencer et on reparlera de ce Perrier-rondelle ensuite. Je ne sais même pas pourquoi je te parle de Perrier-rondelle, je préfère la Badoit et sans citron, mais ce serait chouette d'avoir la possibilité de siroter des Perrier-rondelle en terrasse. Ça ouvrerait la porte à toutes les fenêtres, y compris les menthe à l'eau, les demi-pêche et les blondes pression.)